Le blues de la Mamita
31 mars 2011
Je suis en France depuis près d’un mois et il est de temps de le dire tout net: la « mamita » et son alter ego masuclin, le « papacho », me manquent cruellement. Qui sont-ils? L’âme des villes péruviennes: des ambulants qui surgissent aux endroits et aux heures les plus improbables pour devancer vos désirs. Si Lima, la capitale, les relèguent dans l’ombre, ils occupent le devant de la scène partout ailleurs. Voulait-elle…